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PrÉSentation

  • : RECONNAISSANCE DE LA NATION
  • : Regroupe les anciens combattants de toutes les générations et les anciens des missions extérieures ,défense des droits et intérêts moraux sociaux ,attribution de la médaille d'honneur des "TRN"
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ANT-TRN Association Nationale des Titulaires du Titre de Reconnaissance de la Nation
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22 décembre 2008 1 22 /12 /décembre /2008 17:00
Mes chers amis,
Au moment où, malgré les crises qui agitent notre monde s’annonce le message de paix de Noël , je voudrais vous souhaiter à tous de bonnes et belles fêtes. Je voudrais y ajouter pour vous mêmes et vos familles tous mes meilleurs vœux de santé, de réussite dans vos entreprises et de bonheur.
Nos souhaits ANT-TRN pour 2009 "augmentation des effectifs ,création de nouvelles sections, mise en place de nouveaux partenariats.." .Je compte sur l'engagement et le dévouement de chacun , ainsi notre commune entreprise ne connaîtra pas la crise .

Alain COUPERIE Président Fondateur .
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17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 07:36
Le Secrétaire Général, Monsieur Stéphane Galardini, s'est vu remettre, vendredi dernier, la Médaille Civisme et Dévouement, barette "civisme", palme Or de l'ANT-TRN, au titre de reconnaissance de la Nation, par le Conseiller Culturel de l'UGF, Monsieur Jean-Philippe Secordel-Martin, cette manifestation placée sous le signe de l'inter-générationnalité, sous la présidence de Monsieur Albert Lapeyre, était honoré de la présence du Général Jean Combette, Président du Comité de la flamme de l'Arc de Triomphe, Grand-Croix de la Légion d'Honneur, de Son Excellence Monsieur Albert Salon, ancien ambassadeur de France et Ministre Plénipotentiaire Honoraire, de Madame Posine, conseiller municipal de la Ville de Paris (1er ardt) chargé de la mémoire et du monde combattant et de nombreuses personnalités civiles et militaires.

Cette prestigieuse Association est présidée par Monsieur Alain Couperie.


www.union-gaulliste-de-france.over-blog.fr 
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16 décembre 2008 2 16 /12 /décembre /2008 16:32


Il est toujours agréable d'avoir la " Reconnaissance de ses chefs" merci mon Général
Mes remerciements également à notre dynamique section de Nouvelle Calédonie
présidée par Monsieur Claude BENARD dans la réalisation de cette plaquette .
Alain COUPERIE
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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 11:38
LA REINSERTION ,UNE PREOCCUPATION D’AUJOURD’HUI POUR LA 4 éme GENERATION DU FEU .

Depuis quelques années les anciens combattants de la guerre d’Algérie atteignent , à leur tour l’âge de la retraite. L’ONAC en aurait-il terminé avec la réinsertion de ses ressortissants , l’une de ses missions fondatrices ?
La quatrième génération du feu représente environ 200 000 ressortissants , les soldats engagés actuellement , mais aussi ceux qui furent appelés jusqu’en l’an 2000.
Ils méritent à leur tour la reconnaissance de la  France , pays pour lequel ils portent les armes, risquent leur vie dans un environnement d’autant plus hostile et imprévisible que l’ennemi n’est plus identifié et que le terrorisme s’avère le mode d’action privilégié .
Pendant le service armé , qui pour 70% d’entre eux ne dépassera pas 5 ans à 8 ans , les militaires ainsi que leurs familles sont encadrés et soutenus notamment par l’action sociale des armées .Ensuite les armées ne disposent plus des moyens pour prendre en charge ceux qui ont quitté l’institution .
Ressortissants de l’ONAC , ils appartiennent au monde combattant , il est donc de la responsabilité de l’établissement public de prendre le relais pour répondre à leurs attentes en matière de reconnaissance et d’aide nécessaire , tout au long de leur vie civile .
La principale préoccupation de ces nouveaux ressortissants ( 3000 cartes et 6000 TRN délivrés par an ) est le retour à l’emploi à l’issue du service actif .L’ONAC a ,dans ce domaine les moyens de développer un véritable partenariat avec les armées.Le groupe de travail du Conseil supérieur de la fonction militaire sur la reconversion en 2007 a souhaité « une ouverture plus grande vers les formations de l’ONAC afin de bénéficier de ses structures et de ses réseaux « . En effet , les écoles de reconversion professionnelle de l’ONAC sont en mesure d’accueillir et d’aider tout ressortissant pour qui le départ du service actif n’a pas été préparé , provoquant des difficultés matérielles ou familiales , ou pour réparer les préjudices d’une reconversion ratée .
Mais, l’image , à tort , parfois désuète de l’ONAC , au sein des armées et la trop faible intégration de ces nouveaux venus du monde combattant au tissu associatif  expliquent le laborieux décollage de cette mission de réinsertion .
Chaque génération a ses préoccupations , il ne faut pas oublier cette G4 , notamment parce que ces soldats sont , aujourd’hui les héritiers légitimes des valeurs portées par le monde combattant .
La révision des politiques publiques ( RGPP) dans les armées préconise de simplifier le dispositif de reconversion .La coopération entre les services départementaux de l’ONAC et les correspondants des unités puis ultérieurement  des nouvelles bases de défense sera essentielle.
Il ne s’agira plus uniquement de la seule délivrance des cartes et titres mais de s’inscrire comme un recours en matière de solidarité , de reconnaissance et d’insertion .
Source ONAC Info

Journée nationale de la réserve militaire .DMD .Directeur ONAC .Président ANT-TRN


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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 05:57

L'association "Vive la Résistance" et le service départemental de l'Orne de l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre vous invitent à la soirée organisée en Hommage au Général Leclerc et à la 2 DB sous la présidence d'honneur de Monsieur Yves Guéna ,Président de la Fondation de la France Libre.
le mercredi 10 décembre 2008 à la Halle aux Toiles d'Alençon

17 heures : diffusion du documentaire "la victoire de Dompaire"
20h30 : soirée spéciale : Une épopée de légende.
Avec la participation exeptionnelle de plusieurs anciens compagnons de route et de combat du Général Leclerc .
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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 10:07

Section ANT-TRN de Bretagne


11 novembre à Monterblanc

Pourquoi des Français - et parmi eux 270 Morbihannais - ont combattu et sont morts en AFN, de 1952 à 1962 ?
Du 21 novembre 1848, date de l'instauration des trois départements d'Oran, Alger et Constantine, au 3 juillet 1962, l'Algérie était partire intégrante de la France,
tout comme le sont nos actuels départements d'outre-mer (Antilles - Guyane - Réunion). À elle seule, cette assertion devrait suffire à répondre à la question ; elle devrait couper court à tout autre souci de justification et surtout faire taire certains détracteurs qui continuent à s'interroger sur le bien-fondé de cette guerre.
Nos compatriotes sont morts en Algérie pour la France.
Ceci dit, certains points méritent d'être précisés.
Après la fin de la seconde guerre mondiale et plus précisément à partir du 1er novembre 1954, un nationalisme exacerbé, hostile à la présence française en Algérie, a généré un terrorisme sans limites, omniprésent aussi bien dans les villes que dans le bled et touchant autant les Européens que les Musulmans restés attachés à la France.
Ce terrorisme s'est traduit par d'odieux crimes perpétrés indifféremment à l'encontre de civils et de militaires et par des exactions en tous genres, visant à saper les forces vives du pays, les rouages de l'administration, les infrastructures, les avancées culturelles..., en bref tout un patrimoine, tous les idéaux hérités de plus d'un siècle de présence française. Or, c'est précisément au nom de cet héritage, de ces idéaux que de très nombreux Pieds-noirs, Harkis et Français de souche algérienne sont tombés sur les champs de bataille. N'oublions pas en effet que ces populations d'AFN ont constitué, à partir de 1942, l'essentiel de l'armée d'Afrique qui s'est illustrée lors des campagnes de Tunisie, d'Italie, de France et d'Allemagne et qu'à cet égard, les valeureux combattants de cette armée, notamment ceux qui sont tombés lors des batailles ayant émaillé ces campagnes, ont droit à notre éternelle reconnaissance.
Face à cette extension du terrorisme et à sa virulence, l'impérieuse obligation de protéger les personnes et les biens s'est donc imposée à la France qui s'y est employée de différentes façons, en se reposant avant tout sur son armée. Celle-ci, pour accomplir la tâche à la fois difficile et nécessaire qui lui incombait, dut agir simultanément sur plusieurs fronts.
Rapidement, elle vivifia l'action administrative et sociale par la mise sur pied de "Sections Administratives Spécialisées" (SAS), dans le bled et de "Sections Administratives Urbaines" (SAU), dans les villes. Ces structures furent les dignes héritières des "Bureaux arabes", en vigueur jusqu'en 1870. Leur rôle fut immense, ingrat et souvent dangereux
Dans le même temps, l'armée entreprit l'élimination des unités armées de l'ALN par une série de combats visant:
- tout d'abord à interdire aux troupes de l'ALN, stationnées en Tunisie et au Maroc, d'approvisionner et de renforcer les formations agissant à l'intérieur de l'Algérie ;
- puis à exploiter cette manceuvre en disloquant et anéantissant ces formations par l'engagement de troupes de réserves générales composées de professionnels, d'appelés, d'Européens, de musulmans.
Et, si le gouvernement décida d'engager le contingent en Algérie - terre française - c'est avant tout en raison de l'immensité du territoire (# 400 000 km2 de surface occupée) et de l'importance des zones à traiter. L'armée de métier, déjà passablement étrillée par la guerre d'Indochine, qu'elle achevait à peine lorsque les premiers troubles éclatèrent en AFN, n'y aurait pas suffi.
Nos compatriotes tombés en Algérie ne sont donc pas morts en vain, mais pour de justes causes.
- Ils sont morts pour faire cesser des atrocités, restaurer la sécurité et ramener la paix dans une région française mise en coupe réglée par une cruelle rébellion.
- Ils sont morts pour sauvegarder un héritage : des terres exploités et une agriculture produisant de remarquables résultats ; des infrastructures fiables et un équipement industriel performant ; une scolarisation en constante progression, débouchant sur l'acquisition de "ce merveilleux outil qu'est la langue française" (L.S. Senghor) ; une santé publique ayant endigué les grandes endémies, notamment par la vaccination... Qui a fait mieux et où ?
-    Ils sont morts pour la préservation des valeurs qui ont fondé notre République.

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 07:59
MESSAGE DE L’UNION FÉDÉRALE A LA MÉMOIRE
DES VICTIMES DE LA GUERRE D’ALGÉRIE ET DES COMBATS
DU MAROC ET DE LA TUNISIE
(à lire lors des cérémonies devant le monument aux morts)

Si nous sommes rassemblés ici, aujourd’hui, c’est que nous voulons montrer notre volonté de ne pas oublier nos camarades tombés en Afrique du Nord de 1952 à 1964, militaires de carrière, volontaires, appelés, rappelés, maintenus, harkis et autres supplétifs.

Durant cette période de combats, plus de 24 000 soldats sont morts pour la France au Maghreb.

Inaugurant le 5 décembre 2002, le monument national qui leur est dédié au cœur de Paris, le Président de la République déclarait qu’ils <<occupent enfin, comme leurs aînés de 1914 ou 1940, la place qui leur revient dans la mémoire de notre Patrie>>.

Il y eut aussi des centaines de milliers de blessés, des massacres de civils et de harkis, des larmes et des souffrances chez tous ceux et toutes celles de souche africaine ou européenne qui durent quitter leur terre natale.

Nous associons ces victimes dans notre mémoire comme nous les associons aussi avec les victimes des conflits antérieurs.

Quand comprendrons-nous l’inanité des guerres ? Quand comprendrons-nous que la Paix est la plus belle des victoires, que la Paix est la victoire de la raison sur les passions ?

Osons espérer que les jeunes s’inspirent des leçons du passé pour construire un monde meilleur, un monde solidaire et plus humain !

Avit Leweurs
Président honoraire
Administrateur national
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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 17:08


Nous l'avons retrouvé le dernier Poilu de Ste Anne d'Auray , pour la circonstance et pour marquer le 90 éme anniversaire de l'Armistice de 14/18 notre Jeune Président des Porte-Drapeau de France du Morbihan avait revêtu la tenue d'époque.
Merci à nos amis de l'ANT-TRN d'avoir marqué cette cérémonie du souvenir.
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 19:07
 Témoignage de Marcel Lanoiselée , Ancien résistant déporté au camp d'Ohrdruf

Le réseau Franc-Tireur, créé à Lyon, avait commencé à essaimer dans la région roan-naise début 1942. En août, je fus contacté par des responsables locaux; mes convictions person-nelles et l'influence de mon père, ancien officier de la guerre de 1914-1918, me poussèrent à m'engager à leurs côtés. Après l'occupation de la « zone libre », en novembre 1942, la Wehrmacht, la Gestapo et une filiale de la société métallurgique allemande Rheinmetall-Borsig s'ins-tallèrent à Roanne. Je travaillais à l'Atelier de construction, énorme arsenal de production de canons et d'obus. Cet établissement fut occupé par la firme allemande Rheinmetall qui fit remettre en marche par une firme française, la Sagem, les chaînes de fabrication. Les instructions de fabrication, en allemand, nécessitaient un traduc-teur. Parlant couramment cette lan-gue, je fus sollicité pour faire la liaison entre la direction française et la direction allemande. La société Sagem me confia en outre la res-ponsabilité de recruter du person-nel. J'en profitai pour constituer, avec des personnels nouvellement embauchés, une sous-section du groupe Franc-Tireur.
En 1943, plusieurs rafles démanté-lèrent le réseau marinais, et l'une de mes recrues travaillant à la Sagem fut arrêtée. Je poursuivais mes acti-vités mais, le 10 décembre 1943, la Gestapo m'arrêta. D'abord conduit à Saint-Etienne à la prison Grouchy, torturé à l'hôtel Terminus près de la gare de Châteaucreux, je fus trans-féré à la prison militaire de Montluc à Lyon, « interrogé » plusieurs fois à l'École de Santé militaire, avant d'être envoyé au Front Stalag 122 à Compiègne. Accusé d'être un « ter-roriste », je fus déporté au camp de Buchenwald le 29 janvier 1944, dans le convoi baptisé « écume de mer », et immatriculé 44 368.
En arrivant au camp, je fus mis en quarantaine dans le block 48. Après un passage dans le « petit camp » où les situations de vie étaient indes-
criptibles tant elles paraissaient inhumaines, je fus désigné pour aller dans le « grand camp » au block 39 où « logeaient » des détenus à majorité allemande ayant des res-ponsabilités importantes dans la gestion de cet univers concentra-tionnaire. Ce fut pour moi l'occa-sion de connaître de l'intérieur l'histoire de ce camp, la façon dont il était géré, les luttes d'influences qui s'y déroulaient... J'appris aussi comment il fallait se comporter dans différentes situations, gros avantage sur la majorité des Fran-çais qui, ne comprenant pas les or-dres immédiatement, en subissaient parfois durement les conséquences. Désigné pour un kommando qui venait d'être créé dans l'ensemble d'usines situé à l'extérieur du camp, j'allais connaître le travail sous le contrôle incessant des SS. Mais ici, j'avais l'avantage d'être à l'abri des intempéries.
Le 24 août 1944, un bombardement détruisit la quasi-totalité des usines. La main-d'oeuvre fut alors envoyée dans différents kommandos exté-rieurs. Celui d'Ohrdruf venait de se créer, dans les monts de Thuringe, au sud-ouest de Weimar ; c'est là que je fus expédié. Ohrdruf, au début, comportait deux camps - Nord-lager et Süd-lager - où 1 500 détenus au total commencèrent les travaux de préparation pour le creu-sement de tunnels.
Il fallait parcourir 14 km à pied par un chemin de terre pour se rendre sur le chantier de Jonastal et reve-nir après 10 heures de travail.
chaque soir, nous ramenions les corps de près de 100 camarades morts sous les coups, morts de fati-gue, d'épuisement, tant le rythme de travail était exténuant. En un mois, Ohrdruf allait dépasser la sinistre réputation de Dora. Comment décrire l'indescriptible? Il n'y a parfois pas de mots pour tra-duire ce que l'on voit: le détenu qui a la tête fendue d'un coup de pelle, celui qui est écrasé par une roche ou encore celui qui s'écroule, mort d'épuisement.
Debout à 3 h 30, nous subissions l'appel; puis on nous donnait 150 gr de « pain », une tasse d'un liquide au goût indéfinissable, et on partait au chantier. L'équipe de jour croisait celle de nuit qui « traînait » aussi ses morts. La mortalité était telle qu'il fallait amener 1500 détenus tous les 15 jours, parmi lesquels se trou-vaient de nombreux déportés juifs et tziganes évacués des camps de l'Est: cadavres ambulants, leur sur-vie n'était que de quelques jours.
Les morts étaient entreposés dans le Nord-lager puis envoyés au cré-matoire de Buchenwald. Mais l'ab-sence de moyens de transport en-traîna la création, à proximité du camp, de fosses communes, les char-niers. Je fus affecté à ce kommando. Une tâche inqualifiable! Mais, le fait d'être en plein air et loin de l'air toxique des tunnels m'a sans doute sauvé d'une mort certaine.
Devant la pression des armées amé-ricaines, les camps furent évacués les 5, 6 et 7 avril 1945. Débutèrent alors les terrifiantes marches de la mort. Ohrdruf fut le premier camp libéré par les Américains, qui firent connaî-tre au monde entier ce que l'on nom-mait « un camp et un kommando de concentration ». Quand je suis rentré le 2 mai 1945, je pesais 47 kilos.
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9 novembre 2008 7 09 /11 /novembre /2008 09:36

Fête de la St Michel des Paras au Camp de MEUCON , avec dépôt de gerbe sur la tombe de l'Abbé Guillado ,
messe de la St Michel au camp de MEUCON .
Une délégation de l'ANT-TRN de Bretagne était présente avec son Président Jacques Chaigneau
et Thierry Le balc'h Président de la section des Porte-Drapeau de France du Morbihan .



L'archange saint Michel dont le nom signifie " Dieu combat " étymologiquement EL "dieu" et MICHA "combat" est un personnage de la Bible très populaire dans la religion chrétienne, bien qu'il ne puisse être considéré comme un saint.

Seul Michel est appelé "l'archange" ou ange en chef dans la bible canonique.

Il est le prince de tous les bons anges, le chef des forces du ciel, des armées célestes, le Champion du Bien.

Dans l'Ancien Testament, il est vu quand Dieu s'adresse aux hommes et est envoyé, messager, porteur de la Nouvelle.

C'est lui qui pèsera les âmes lors du Jugement dernier et qui emmènera les âmes des élus au Paradis. On dit qu'il est psychostase et psychopompe. En mythologie, un dieu psychopompe, du Grec ψυχοπομπóς (psuchopompos), littéralement « guide des âmes », est le conducteur des âmes des morts (guide ou passeur), le guide dans la nuit de la mort. L'épithète s'appliquait entre autres à Apollon, Hermès ou encore Orphée. Beaucoup de croyances et de religions possèdent des esprits, des déités, des démons ou des anges qui ont la tâche d'escorter les âmes récemment décédées vers l'autre monde, comme Le Paradis ou L'Enfer ; ils sont souvent associés avec des animaux tels que les chevaux, les corbeaux, les chiens, les chouettes, les moineaux ou encore les dauphins.

Chez les chrétiens, c'est l'archange Saint Michel qui s'en occupe.

Il apparaît de nombreuses fois dans la Bible. Saint Michel apparaît au voyant prophète Daniel (Dan 10,13-21 ; 12,1). Dans les visions grandioses de saint Jean au livre de l'Apocalypse (Ap 12,7ss), enfin dans l'épître de Jude (v. 9) où il entre en conteste avec Satan. C'est lui qui retint la main d'Abraham qui s'apprêtait à immoler son fils Isaac. Lui qui apparut à Josué à Jéricho et le fit vainqueur. Lui qui aida David à combattre Goliath.
Saint Michel combattant le dragon

Dans le Nouveau Testament, l'archange saint Michel est également celui qui a terrassé le dragon (Satan), en lui disant « Quis ut deus », c'est-à-dire en latin , « Qui est Dieu ? » (en référence à l'orgueil de Satan qui voulait monter au plus haut des montagnes et se montrer ainsi semblable au Très-Haut).

Pour les catholiques, l'archange saint Michel est donc l'une des premières personnes à invoquer pour obtenir une protection contre les Démons.

L'Archange Michaël est aussi appelé : saint Michel, Prince des Archanges, Archange du Premier Rayon, Défenseur de la Foi.

Chef de la milice céleste, dans l'Ancien Testament. Il terrasse le dragon dans l'Apocalypse, et expulse Satan du Paradis. Il apparut à Saint Grégoire le Grand le 8 mai 590 au sommet du Château Saint-Ange, à un berger au sommet du Premont Gargano, en Pouilles, au Mont-Saint-Michel en Normandie et à Jeanne d'Arc à Domrémy.

Il est le protecteur du peuple d'Israël, de l'Église romaine et de la France depuis les Valois, et le saint Patron de la Normandie.
Source WIKIPEDIA


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